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Mardi, 22 Décembre 2009

Mes débuts sur internet avec Alliance le premier magazine sur le net

Il y avait deux choses dont j'avais toujours eue horreur dans ma vie :les mathématiques et l'informatique.
Cette rime me donnait le frisson, et je ne m'imaginais pas une seule seconde passer une partie de ma vie derrière un écran... Ca manquait d'émotion, de passion, un monde étriqué, rigide, sans fantaisie...

En revanche j'avais une passion forte, écrire, l'expression écrite, transmettre.
Par un concours de circonstances mon aversion et ma passion se sont rencontrées et ont donné naissance à Alliance, le premier magazine de la communauté juive sur le net.

J'ai compris que la passion, permet de prendre appui sur ce que vous n'aimez pas et d'en faire votre allié .

Par la suite j'ai remarqué que la zone de confort où on avait l'habitude d'évoluer nous empêchait justement d'évoluer.

Quand j'ai pensé à créer un magazine juif sur le net je n'étais motivée que par une seule chose, écrire, la liberté d'écrire et de partager, de faire connaître le judaisme sous toute ses formes, de faire de ce magazine un outil de connaissance, de permettre de relier l'ensemble des communautés juives de part le monde, relier toutes les tendances juives mêmes les plus éloignées,  faire une Alliance avec toutes les étincelles du judaisme.

Je n'ai jamais pensé d'en faire une start-up, voire même gagner de l'argent, juste être libre d'écrire et d'être diffuser, sans contraintes.
Je n'ai surtout pas penser que je serais la première à avoir cette idée  et qu'alliance serait le premier magazine sur le net.

Mais avant d'arriver à cette évidence le chemin fut laborieux.
En 1993 je rencontrai Laurence Couques alors déjà propriétaire du magazine Shalom Magazine et lui proposait mes services, bénévolement, pour la réalisation d'un nouveau support papier ; Shalom Madame. L'ère du judaïsme au féminin émergeait et nous savions qu'il fallait être à l'écoute de cette tendance, ou de la créer...qui l'oeuf de la poule ?

Nous avions donc créées le premier magazine juif féminin " Shalom Madame "publication papier en 1993, beau succés, aventure passionnante,  j'étais déjà maman de 3 enfants, que j'emmenais un peu partout avec moi. Ce magazine représentait énormément pour moi il concrétisait mon rêve d'écriture, de relation et de service, de création, tout en flattant mon égo bien entendu...

Cependant,  comme toutes les bonnes choses ont une fin, ou du moins que tout a un cycle ,  Shalom Madame s'arrêta brutalement, à sa 3 eme parution. Emportées par notre passion de création, de faire de ce magazine quelque chose d'innovant pour les femmes juives, d'apporter ce côté In sans déroger à la Loi juive, nous avions occulté l'aspect commercial des choses pourtant essentiel dans une telle entreprise...

Je me retrouvais donc amputée de ma passion et sans aucune issue en apparence, n'ayant pas le premier sous pour me lancer ou pour continuer cette aventure de magazine papier.
J'étais là , entourée de mes 4 enfants - car entre temps je mis au monde  une  superbe petite fille , Myriam - et je commençais à tourner en rond dans mon immense salon, seule au monde...;-)

Le rôle de maman est magnifique à condition qu'il vous laisse la possiblité de vous réaliser.  Seulement je compris qu'il était impossible de recréer un autre magazine, toutes les tentatives avaient échouées, sans argent, sans beaucoup d'argent, impossible de dépasser le stade de la maquette.

Et puis un jour,  j'entendis parler d'internet, pour moi ce n'était pas quelque chose de nouveau eh non...- si vous voulez savoir à quoi vous sert un truc inutile que vous avez appris un jour  ? penchez vous sur votre futur, vous aurez la réponse -

Nous n'étions qu'en 1995 lorsque je m'abonnais à club-internet.fr avec ma première adresse email rebecca@club-internet.fr, toujours actiive.
Mais 3 années auparavant en 1992 je connaissais le protocole transpac qui permettait de mettre en réseaux plusieurs ordinateurs et de communiquer des informations.
Cette information totalement inutile à ce moment là,en tout cas, était l'idée d'un ami de la famille, Henri Osser qui avait ressenti la nécessité en tant qu'expat français en Israël de relier l'ensemble des communautés juives du monde,  sur une plate forme en 4 langues, français, anglais, espagnol et hébreu.
Il m'avait demandé de lui donner un coup de main, et de chercher des informations sur le protocole pouvant faire avancer son projet. 
J'ai commencé mes recherches, mais il décéda avant qu'internet ne fit son apparition.

Quelques temps plus tard je reçu par la poste un énorme colis, un incroyable colis, c'était l'ordinateur de Henri...Envoyé d'Israel à Chelles. Les emails n'existaient pas encore , et la poste assurait encore ce travail d'envoyer les informations les plus insolites :-) Je reçus donc son ordinateur sensé me livrer les informations afin peut-être de comprendre mieux son projet.

Je savais utiluser une machine à traitement de texte , une machine à écrire mais là c'était un dés premiers PC avec moniteur en  couleur.
Je trouvais extraordinaire tout ce que l'on pouvait lire  et voir sur cette machine, particulièrement  les images, passionnée déjà par le rendu visuel, c'était comme un peu découvrir la télé couleur en 1973...J'exagère à peine. Il ne manquait plus que le son et le mouvement....Il y avait là la mémoire d'un homme.

Malheureusement cet ordinateur, n'a pas non plus survécu à son voyage postal et je n'ai pu qu'extraire quelques éléments du projet d'Henri qui n'apportait rien de plus de ce que j'avais de mon côté déjà exploré.

Je mis cela de côté, je ne savais pas à quoi cela pourrait me servir et c'était très loin de mes préoccupations actuelles, je ne cherchais qu'une seule chose écrire et trouver un magazine qui accepterai de me prendre...Alors qu'en internet fit son apparition de manière public, pour moi c'était une évidence, je compris immédiatement l'interêt de cette connexion avec le monde.(comme quoi, tout ce que vous apprenez "d'inutile dans la vie" construit votre futur).

Et  si Chelles n'est pas Israël , je me sentais isolée avec mes 4 enfants. Internet représentait une fenêtre sur le monde sans avoir besoin de sortir de chez soi.

Je continuais pourtant encore à tourner en rond dans mon grand salon, mon problème n'était toujours pas résolu, qu'allais je faire de ma vie si je ne pouvais pas écrire ? Il fallait bien que je fasse quelque chose de cette formidable énergie qui me permettait d'élever 4 enfants et ce besoin viscéral de créer, tout était lié.
Tout à coup l'idée traversa mon esprit comme un éclair, "créer un magazine sur le net".
Cette idée, oserais je dire? était absolument géniale ...;-) de plus elle répondait à deux impératifs, mon besoin d'écrire et mon manque d'argent pour publier sur papier.
Seul petit hic et il était de taille : je n'y connaissais rien et quand je dis rien c'est vraiment rien en informatique ou en ordinateur. Je suis donc la preuve vivante que le moteur, la motivation font des obstacles vos alliés, c'est ce qui vous permet de nous dépasser et de vraiment créer quelque chose de différent, de se distinguer, être pionnier c'est difficile surtout dans le monde d'internet, c'est un monde d'homme, particulièrement  à ses débuts.

Il était difficile d'arriver est de dire voilà je suis une maman de 4 enfants, j'habite au bout du monde à gauche, et je veux créer un magazine sur le net , vous pouvez m'aider ??? ah et j'oubliais et je n'ai pas un sous ...;-)

Oui c'est difficile, 20 , 30, 40 portes se sont fermées sur ma demande, et puis un jour  Simon Midal et  Nicolas Rebibo ont répondu " oui ont veut bien vous rencontrer". Ils avaient conçus le premier site de la communauté COL. Quand deux pionniers se rencontrent c'est un peu comme deux extra terrestres, ils ont compris, alors qu'encore à cette période, tous ne juraient que  par le minitel...

Nous nous sommes entendus et nous avons commencé notre aventure. J'étais affamée je ne laissais pas Nicolas récupérer ses nuits blanches à résoudre les problèmes rencontrés sur le site de col,  je lui envoyais tous les jours des mises à jour d'Alliance. David Kessel avait accepté de me créer le logo a un petit prix, Nicolas lui travaillait bénévolement pour COL et à présent pour Alliance...

6 mois passionnants , avec beaucoup de bonnes volontés autour de moi, certains m'ont appris l'utilisation d'un logiciel html , Pagemil première version, d'autre photoshop, j'apprenais tout très rapidement car je voulais tout faire par moi-même et à mon rythme , c'est à dire très rapidement.
C'était incroyable d publier en temps réel, texte, sons , images, j'étais la première à mettre les hafatarot sur un site grâce à Benjamin Houzi qui enregistrai les haftaroth, et me les a offerttes, c'était magique, rapide, je faisais des interviews le matin, 2 heures plus tard elles étaient sur Alliance et visibles par tous partout dans le monde...
Même si il n'y avait pas beaucoup d'internautes mais il fallait bien reconnaître que les premiers utilisateurs d'internet étaient les juifs.

Ils ont un talent c'est de faire de grande famille qui ne tient pas en place , le téléphone coûtait très cher à l'époque et envoyé un email beaucoup moins.
Ce besoin viscéral d'être connecté malgré la distance c'est typiquement juif.

Sa femme Rivka a participé aussi à cette aventure, d'autres du bout du monde (pour de bon cette fois..) du Canada, d'Israël, des  USA, sont venus rejoindre Alliance, et même si à ces débuts je me suis sentie plutôt seule, j'ai vite compris l'impact qu'allait avoir ce e-zine.

J'oublierai surtout jamais comment muée par une volonté de création pour ce  magazine sur le net, je me mis à économiser franc par franc jusqu'à avoir la rondellette somme de 25.000 frs qui m'ont permis d'acquerir un gros gros Macintosh , un scanner aussi énorme,  un modem 9600 baups (attention les yeux sur les factures de téléphone ...) une imprimante.

Et je n'oublierai surtout pas les larmes que j'ai versées quand je me suis retrouvée non seulement avec mes 4 enfants autour de moi mais aussi avec tous ces cartons, sans savoir comment relier chacun de ses engins, et  faire fonctionner internet.
J'ai appelé la société CLG chez qui j'avais acheté tout le matériel (ils sont restés mon fournisseur préféré) et  leur ai demandé de venir jusqu'à chez moi pour me brancher le tout. Oui ils sont venus ! ils m'ont tout branché et ça a marché , j'étais aux anges...Quelle merveille de "surfer" sur le net nescape 1..nous sommes en 1995, n'oubliez pas , il faut donc juste 30 secondes pour afficher une image,  et la connexion est facturée comme le téléphone. Il m'est arrivé d'avoir des factures de plus de 9000 frs.

La suite à un prochain épisode. :-)

Mardi, 27 Janvier 2009

Wikipédia : Vers la modération de certains articles ?

Suite à divers couacs sur des biographies, Jimmy Wales milite pour un durcissement des règles de publications.

par Alexandre Hervaud
source: Libération

Quel est le point commun entre le sénateur américain Edward “Ted” Kennedy et le rock&folkeux Philippe Manoeuvre ? Ces braves hommes ont tous deux connu la mort avant de ressusciter. Rien de christique ni de miraculeux là-dedans puisqu’il s’agit de trépas prématurément annoncés sur l’encyclopédie Wikipédia, le genre de mésaventures régulièrement montées en épingle par les détracteurs du site.

S’il ne fait aucun doute que ces oraisons funèbres précoces n’enchantent jamais les premiers concernés, il convient de signaler la rapidité des wikipédiens à réagir. Dans le cas de l’annonce erronée sur Ted Kennedy suite à son malaise lors de l’investiture d’Obama, cinq minutes auront suffi aux contributeurs de l’encyclopédie en ligne pour corriger la fausse information.

Pour Jimmy “Jimbo” Wales, co-fondateur de Wikipédia, c’est l’occasion de reparler de flagged revisions (modifications vérifiées), outils qui lui semblent inévitables pour éviter ce type d’incident. Le principe : pour certains articles, notamment les biographies, les modifications apportées ne seraient visibles en ligne qu’après validation de modérateurs « dignes de confiance ». Le concept n’est pas nouveau et les discussions autour de ce procédés se poursuivent depuis des années, mais les récentes déclarations de Wales après les malencontreuses « fausses morts » ont fait ressurgir ce vieux serpent de mer...

« L’affaire des biographies de personnalités contemporaines est si important qu’à mon avis, il ne serait pas éthique d’ignorer un outil prometteur pour réduire ce problème, maintenant qu’il a déjà été testé ». Wales fait ainsi référence à la mise en place du système en Allemagne. Anodine en apparence, cette proposition, qui peut sembler légitime pour éviter tout débordement, provoque néanmoins une polémique passionnée entre utilisateurs du site. De nombreux wikipédiens relativisent en effet l’étendue de ce « problème ». Et si la rapidité de correction était au contraire la preuve d’une saine auto-régulation de la communauté wikipédienne ? Dans ce cas, pourquoi vouloir changer un système capable de mettre à jour rapidement, sans contrôle supplémentaire, les erreurs de contributeurs facétieux ? C’est l’opinion du contributeur Ned Scott, qui s’adresse ainsi à Wales : « Jimbo, tu es dingue ? Relis les articles sur l’affaire Kennedy, il a fallu moins de cinq minutes pour supprimer l’erreur, et c’est super impressionnant ! Au lieu d’être fier de tes utilisateurs, tu en profites pour imposer les flagged revisions »

Les Flagged Revisions, bien que déjà activées en Allemagne, constituent un changement profond du principe même de l’encyclopédie participative. Sur la page d’utilisateur de Jimbo Wales, les arguments s’échangent. Pour le contributeur MZMcBride, se focaliser sur les biographies n’est de toute façon pas une solution raisonnable : « Elles représentent pas moins de 12,34% de nos articles. Mettre en place les Flagged Revisions sur un tel segment du site engendrera sans aucun doute des retards impossibles à gérer ». D’autres, comme Jbsupreme, soutiennent vigoureusement la vision de Wales : « il ne faut pas attendre que les dons pour Wikipédia soient ponctionnés pour payer un procès idiot parce que nous, éditeurs, étions trop pointilleux sur des détails pour avoir une vision globale de l’affaire ». D’après Wales, suite à un sondage, 60% des wikipédiens interrogés pencherait pour l’option de modération qu’il préconise, tout du moins pour une période de test clairement définie et limitée.

Ces discussions passionnées interviennent alors qu’outre-Manche, l’encyclopédie Britannica a dévoilé un plan permettant aux lecteurs de mettre à jour ses références. Si à première vue, le modèle Wikipédia semble-être l’inspirateur de ce revirement, Britannica privilégiera toutefois les contributions d’experts et de lecteurs sélectionnés, comme l’avait délicatement signalé son président Jorge Cauz sur son blog, en juin dernier : « Nous n’abandonnons pas nos responsabilités éditoriales face à la soit-disante ’“sagesse des foules”’. Pour nous, la création et la documentation du savoir est un processus collaboratif, mais pas démocratique ». Pas si wikipédien, en fait.

Mardi, 02 Décembre 2008

Internet - Il lui est infidèle sur Second Life, elle divorce

Une Britannique a engagé une procédure de divorce à cause des infidélités de son mari dans le monde virtuel Second Life. C'est fou mais c'est vrai.

Mai 2003. Amy, jeune femme de 28 ans rencontre David, 40 printemps, sur le Net. De chat' en conversation via web cam en passant par de long mails langoureux, ils apprennent à se découvrir. L'amour naît quasi subitement, oui, c'est un coup de foudre. Six mois plus tard, ils se disent "Yes" en Cornouailles.
 
Féru de la Toile, le couple crée ses avatars sur Second Life. Elle a comme pseudo Laura, lui répond au suave nom de Dave. Leurs personnages virtuels sont plus jeunes, et beaucoup plus minces que les vrais époux. Mais toujours amoureux dans ce monde virtuel. Jusqu'au jour où.
 
Après une sieste, Amy/Laura déambule dans ce monde virtuel où tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Ben oui, c'est pas la réalité croit la jeune femme... Et là, c'est le drame. Au détour d'une chambre, elle découvre le personnage de Dave, donc son David, en pleine action avec une prostituée.
 
"Je suis devenue folle, j'étais tellement blessée. Je ne pouvais pas croire ce qu'il avait fait", déclare Amy à la chaîne de télévision Sky News. On n'a pas vu les images mais on imagine la pauvre en larmes. De son côté "il ne voyait pas le problème et ne comprenait pas pourquoi  j'étais si mécontente". Et elle sûrement de repartir dans un douloureux sanglot.
 
"Elle est devenue folle"
 
Malgré tout, le couple se réconcilie. Remariage pour de vrai. Et autre union pour de faux sur Second Life en vachement fastueux. Il n'empêche, Amy/Laura continue à avoir des doutes sur la fidélité de son mari David/Dave. Elle engage une détective virtuelle pour le tester. Rebelote, son avatar de mari se retrouve à faire un câlin à une femme sur un canapé. "Cela avait vraiment l'air tendre", observe la femme bafouée.
 
C'en est trop. Cette fois, la jeune femme entame une nouvelle procédure de divorce pour de vrai toujours. Il doit être prononcé la semaine prochaine. "J'avais cette relation en ligne avec cette fille en Amérique. Il ne  s'agissait pas de cyber sexe ou rien de ce genre. Ce n'était rien de très grave  mais quand Amy l'a découvert, elle est devenue folle", a indiqué David en parlant de lui, donc de Dave dans Second Life.
 
La jeune femme a reconnu avoir été déprimée pour un temps mais elle a depuis  rencontré un autre homme... en jouant au jeu de rôle World Of Warcraft. Selon le Daily Telegraph, David est fiancé à son amante virtuelle  américaine qu'il n'a jamais rencontrée. Second Life est un monde virtuel avec plus de 15 millions d'utilisateurs, sa propre monnaie et, bien sûr, les soucis et tromperie de la vraie vie.

Mercredi, 08 Octobre 2008

C’est officiel, avec Obama l’open source vote démocrate

Le PHP, Apache, l’open source, des trucs de geek ? Des trucs de gauchiste, oui !

Témoin cette excellentissime et drôlatique étude comparative des sites officiels de John McCain et Barack Obama, qui met en exergue les différences des deux candidats en scrutant le code et les pages de leurs sites respectifs avec l’oeil averti et incisif de l’expert en développement et standards du web.

Où il ressort un portrait presque caricatural des positions politiques de chaque candidat : Obama le démocrate (donc la gauche américaine) qui utilise les technologies open source (LAMP) alors que son grand rival McCain fait dans le corporate bon ton avec l’ASP de Microsoft.

Barack Obama
John McCain
  • XHTML 1.0 transitional standard
  • Open source (PHP/ Apache)
  • Erreur 404 assumée
  • Pretty URL
  • HTML 4.01
  • Corporate (Microsoft ASP)
  • Erreur 404 standard
  • Url case-sensitive et imbitable

Tableau emprunté chez Jay Salvat

Quand le code HTML révèle à ce point une philospohie politique, moi je dis que le web confine au génie.
Comme dirait l’autre, code is poetry

(via Jay Salvat et Rémy Prévost)

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